– Texte de Pauline Gravel publié dans Le Devoir le 24 mai 2018
Le potentiel de la danse pour améliorer la santé et le bien-être a longtemps été sous-estimé. Il commence enfin à être reconnu et étudié par les scientifiques, ainsi qu’à être exploité pour une variété de problèmes de santé physique ou psychologique.
« L’imagerie par résonance magnétique nous a révélé la plasticité du cerveau. Cette découverte a permis de reconnaître le potentiel que la danse peut avoir sur le cerveau [en créant de nouvelles connexions]. C’est pour cette raison que les chercheurs ont commencé à s’intéresser aux interventions par la danse. On sait que le mouvement est très puissant. Or, la danse ne se limite pas au mouvement, elle comprend aussi le rythme et des aspects sociaux et affectifs. Toutes ces dimensions entrent en jeu et travaillent en synergie », rappelle Sylvie Fortin, professeur au Département de danse de l’UQAM et membre de la Chaire de recherche UQAM pour le développement de pratiques innovantes en art, culture et mieux-être. Lire la suite
Image : Pixabay